La Grande Bellezza
de Paolo Sorrentino
Italie, 2013
Casting : Toni Servillo et autres
Je n'y allais pas pour la langue car comme chacun sait je préfère mille fois l'espagnol à l'italien et autrement dit je n'aime pas vraiment l'italien ni la culture italienne en soi. Quoique ça me fait plaisir de me rendre compte que les bases que j'ai acquises en deux ans me restent et qu'il y a pas mal de trucs que j'arrive à comprendre même si je m'efforce de tout oublier. Bref voilà mais cela ne concerne en rien le film.
Le film était vraiment bien, juste, intelligent. La première scène est une des plus belles ouvertures de film à mon sens. Le calme, la fête, le calme. Univers unique avec toutes ces beautés de la renaissance auxquelles on a un accès privilégié dans la nuit. Je le savais, j'ai la flemme de m'expliquer, mais voilà, les 5 étoiles montrent bien ce que j'en pense.
« Voyager, c’est bien utile, ça fait travailler l’imagination. Tout le reste n’est que déception et fatigues. Notre voyage à nous est entièrement imaginaire. Voilà sa force. Il va de la vie à la mort. Hommes, bêtes, villes et choses, tout est imaginé. C’est un roman, rien qu’une histoire fictive. Littré le dit, qui ne se trompe jamais. Et puis d’abord tout le monde peut en faire autant. Il suffit de fermer les yeux. C’est de l’autre côté de la vie. » Céline, Voyage au bout de la nuit
« Voyager, c’est bien utile, ça fait travailler l’imagination. Tout le reste n’est que déception et fatigues. Notre voyage à nous est entièrement imaginaire. Voilà sa force. Il va de la vie à la mort. Hommes, bêtes, villes et choses, tout est imaginé. C’est un roman, rien qu’une histoire fictive. Littré le dit, qui ne se trompe jamais. Et puis d’abord tout le monde peut en faire autant. Il suffit de fermer les yeux. C’est de l’autre côté de la vie. » Céline, Voyage au bout de la nuit
Vu au cinéma La Bastille le samedi 29 juin 2013
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